Beaucoup ont dénoncé cette loi « anti-presse » ou «liberticide », je ne vais pas en rajouter. La meilleure façon de résister contre une loi qui vise à museler la presse est de garder sa liberté. Comme on dit, la liberté s’arrache. Et la liberté se vit. Les journalistes doivent continuer à informer, à dire au monde ce qu’ils croient être la vérité, conformément à la déontologie de leur métier. Je ne sais pas si je suis journaliste mais je me sens lié d’une manière ou d’une autre à ce milieu, à ces hommes et ces femmes qui travaillent sur l’information et que l’événement ne laisse pas indifférent. Je continuerai à écrire ce que je crois valoir la peine d’être lu.
Ce qui sauvera les journalistes contre les abus que cette loi annonce, c’est la solidarité. Qu’ils continuent à se serrer les coudes comme ils le font déjà aussi bien. Comme ils l’ont fait avec Ruvakuki, Kiramvu, et tous les autres. La solidarité triomphera sur l’injustice.
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